Léa Belooussovitch
Bruxelles, Belgique
Touchant à une esthétique de la disparition, les œuvres de Léa Belooussovitch nous interrogent sur notre rapport à la violence, notamment des images, liées aux faits de société et mettent en lumière la vulnérabilité d’un moment précis, rendant compte d’une forte humanité.
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Naissance
1989
Paris, France
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Résidence
Bruxelles, Belgique
Le dessin reprend l’image journalistique nette, aux couleurs vives capturant sur le champ et sans aucun détour la souffrance extrême des individus. L’information visuelle provenant du médium photographique est ainsi rendue plus tolérable par le biais de sa transcription manuelle.
L’image apparait comme évanescente, tel un fantôme, devenant l’empreinte de sa source dans nos mémoires. Son pouvoir est pourtant là, dans cette retranscription intime d’un récit d’une brutalité telle qu’elle empêcherait le regard de s’attarder. C’est justement cet écart entre le référent et le référé que met en avant le travail, cette distance qui nous en éloigne tout en étant proche physiquement de l’œuvre.
L’image apparait comme évanescente, tel un fantôme, devenant l’empreinte de sa source dans nos mémoires. Son pouvoir est pourtant là, dans cette retranscription intime d’un récit d’une brutalité telle qu’elle empêcherait le regard de s’attarder. C’est justement cet écart entre le référent et le référé que met en avant le travail, cette distance qui nous en éloigne tout en étant proche physiquement de l’œuvre.
Ses dernières expositions
Année | Titre | Lieu | Ville |
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2019 | EIDÔLON « Before my gaze thy soul’s eidolon stands » | Galerie Paris-Beijing | Paris |